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Au cours de leur carrière, de plus ou moins haut niveau et peu importe le sport, la majorité des sportifs ressentiront des gênes, parfois des douleurs, qu’elles soient musculaires ou articulaires. La lombalgie est aujourd’hui la principale rencontrée. Impactant la pratique sportive et bien souvent jusqu’à la vie quotidienne. Quels sont les moyens mis à disposition pour ne pas stopper totalement les activités ? Comment limiter son impact sur les performances des sportifs. Zoom sur les solutions à votre portée.

 

Qu’entend-on par lombalgie ?

La lombalgie, qui peut être chronique ou aigüe, regroupe tout un ensemble de termes que vous entendez très souvent comme le mal de dos, le tour de rein, le lumbago, … S’installant plus ou moins brutalement, elle provoque des douleurs dans le bas du dos au niveau des lombaires, zone située juste au-dessus du bassin. Dès ce moment-là, certains mouvements dans la vie sportive, mais également quotidienne peuvent devenir rapidement handicapants.

Peu importe leur origine et leur apparition, il ne faut pas laisser les gênes et les douleurs occasionnées s’installer. En effet, le niveau d’inquiétude est bien souvent corrélé avec l’importance de l’atteinte, pouvant provoquer une peur du mouvement. Parlez-en immédiatement à votre médecin. Il sera de premiers conseils dans la démarche à suivre.

Rassurez-vous, l’issue est une amélioration dans la plupart des cas, un dos fort est capable d’encaisser bien plus que vous ne le pensez. Alors, bougez !

Pour un sportif, il peut être difficile d’éviter les douleurs lombaires. Si la lombalgie est liée à la répétition du même mouvement ou un geste brusque, il vous faut alors trouver une solution pour l’éviter ou la limiter sans cesser de pratiquer votre sport.

La solution ? Le mouvement, l’apprentissage et l’éducation de la rééducation du rachis lombaire.

 

Le massage et la physiothérapie : pourquoi et à quelle dose ?

 

Définition de la physiothérapie

Le physiothérapeute est en Angleterre l’équivalent du masseur-kinésithérapeute chez nous. En France, le terme physiothérapie n’est autre que la kinésithérapie. Souvent confondue et associée à l’électrothérapie ou aux ultrasons, elle est pourtant désignée comme l’ensemble des techniques de thérapies physiques. En soi, la rééducation par le mouvement ! Les exercices seront essentiels afin de « libérer » les articulations et donc récupérer de la mobilité. Ils permettront de soulager les douleurs présentes et d’enlever les tensions musculaires.

Aujourd’hui, l’électrothérapie et les ultrasons sont des approches avec peu de validité scientifique. Ce qui est également le cas du chaud et du froid (la cryothérapie). On associe tous ces concepts, ainsi que ceux du massage, aux croyances des personnes et aux bienfaits procurés.

Pourquoi s’en priver si cela vous amène du confort ? En tant qu’adjuvant, ils ne seront presque jamais déconseillés, en complément des exercices physiques, sauf indications contraires. Cependant, si ces applications ne vous apporte aucunes sensations d’amélioration, alors ne vous y attardez pas ! 

Massages et/ou auto-massages ?

Tout d’abord, il faut savoir que même si le métier s’appelle « masseur-kinésithérapeute », le massage a proprement parlé n’est qu’une infime partie des solutions proposées chez ces thérapeutes. Cela est d’autant plus vrai pour les ostéopathes ou cet acte n’est simplement pas présent. De plus, lorsqu’il est réalisé, il est à visée de récupération et de libération musculaire permettant de soulager la douleur ressentie ou bien d’activation et de préparation à l’effort. Pour cela, il sera donc bien souvent plus ou moins tonique et appuyé. Ce ne sera peut-être pas une partie de plaisir, mais les bienfaits se feront ressentir à postériori.

Vous pouvez prévenir la lombalgie à l’aide de quelques exercices, encore et toujours à réaliser par vous-même, les auto-massages. Avant et après chaque entraînement, chaque compétition ou bien même dans votre vie de tous les jours. Si vous êtes sujet aux douleurs lombaires, il peut être intéressant de vous « masser » le dos.

« Ça fait du bien » et c’est le message ! Prenez soin de vous !

Les bienfaits seront une diminution des courbatures ressenties, une amélioration de l’amplitude articulaire et une souplesse musculaire plus importante.

Pour cela, peu de moyens sont nécessaires. Un rouleau de massage, votre corps et une volonté débordante d’aller mieux. Le but est de se rouler les différentes parties du corps souhaitées, de comprimer les tissus (fascias) des cuisses au haut du dos, en passant par les fessiers. En soit toutes les zones pouvant impacter cette gêne lombaire. Car comme vous commencez à comprendre, le corps ne fait qu’un !

 

Bien entendu, cet exercice ne remplacera jamais une intervention d’un professionnel, mais il peut vous aider à mieux appréhender votre pratique.

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